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  • Les coulisses de mon métier en 2017 : zone de hors-piste absolue
25 janvier 2021

Les coulisses de mon métier en 2017 : zone de hors-piste absolue

par Thomas Ferry / lundi, 19 décembre 2016 / Publié dans Blabla

Le site Grimper.com publie désormais des articles sur les différents métiers de la grimpe, preuve peut-être que ce monde est en effervescence, et que de nombreux passionnés recherchent une activité autre que « moniteur d’escalade ». De mon côté, je constate de plus en plus de demandes de la part des étudiants : stages, mais aussi des questions, interviews, dossiers sur mon activité. Il est peut-être temps de vous en dire un peu plus sur les coulisses de Prepagrimpe.com, un site sur l’entraînement bien sûr, mais aussi et surtout une vitrine professionnelle pour mon activité.

Loin des « gros » médias Planetgrimpe.com et Lafabriqueverticale.com par exemple, noyé dans un flot de sites, on y trouve donc « Prepagrimpe ». Deux ans auparavant, dérouté par un manque de compétences et des informations peu fiables trouvées sur le site de mon hébergeur, j’avais communiqué (je me souviens encore de la tête d’Olivier et Laurence de la FV, dans la même salle que moi à ce moment-là) sur le nombre de visiteurs uniques sur « mon » site (car en réalité, en coulisse, mon frère retrousse ses manches également !). Beaucoup de parenthèses en guise d’excuses et d’humilité : chacun son métier. Je reviendrai sur Prepagrimpe un peu plus tard.

Mon métier ? Ma vie ? Mon avenir ? Voilà en partie comment on devient Thomas de Prepagrimpe !

Mon parcours

Une base d’entraînement en STAPS, option escalade, ainsi que quelques autres formations pour compléter mes connaissances, notamment en préparation mentale. Du côté purement sportif, je n’ai jamais été un vrai grimpeur, l’escalade étant plutôt un entraînement pour la montagne. Globalement, je dirais même objectivement que je ne suis absolument pas fait pour l’escalade. Alors si j’en suis là désormais, c’est un peu par « hasard ».

Je n’ai jamais aimé les machines de musculation, ni même la pure « prep physique ». Donc c’est un point important car je suis loin d’en faire une priorité, plutôt une base, aussi light que possible. Si on analyse suffisamment l’activité, on peut même envisager de remplacer tout travail de renforcement musculaire via la pratique elle-même, y compris pour les muscles antagonistes. Aujourd’hui, avec les bandes élastiques, on peut largement envisager des exercices complémentaires (coiffe des rotateurs par exemple).

Etrangement, même en grimpant « mal », j’ai toujours eu cette impression de pouvoir analyser l’activité (hors physique), comme si la grimpe était LE sport fait pour moi, en tant que « coach ». Cette discipline m’attire depuis toujours, j’admire bon nombre de grimpeurs donc je les observe, et je crois que mon objectivité sur le sujet a fait une partie « de ma réussite ».

Le hasard donc. J’ai dévoré mes cours en STAPS, et je suis arrivé dans les Alpes. J’ai fait alors une rencontre exceptionnelle qui a changé ma vie, un kiné, que bon nombre de grimpeurs connaissent d’ailleurs. Lui m’a fait rencontrer d’autres grimpeurs. Quelques mois après mon arrivée, on m’a ouvert une planification de haut niveau. Avec une bonne dose de prétention post STAPS, je me suis permis de la critiquer (je l’avoue, de manière assez négative…). Ce fut le point de départ de ce qui allait devenir Prepagrimpe. Cette personne m’a demandé de la suivre. Je l’ai fait bénévolement, avant tout parce que je n’étais désormais plus trop sûr de mes convictions. Mais j’avais ça en moi, je devais le faire. L’Ego ?

Sportivement, ce fut une réussite. Humainement, pas du tout. Mais j’ai appris de cette relation. Je suis rentré dans le commerce pour de longues années. Toujours aussi passionné, j’ai cherché à progresser encore et encore, parallèlement à mon métier de « manager » (le terme est plutôt sympa pour mon Ego !).

Très vite j’ai cherché à recueillir des données sur le physique, non pas pour résumer l’activité à la préparation physique, mais pour essayer de poser un cadre, et laisser de la place à…la grimpe. Il m’est arrivé de poser certains messages sur le forum du site de la FFME, à la recherche de volontaires. Et là, sur un plateau, une certaine Mélanie m’a répondu. Direction Reims depuis les Alpes pour la rencontrer, encore une sorte de feeling mélangé à de l’admiration, probablement. Mel a été à la fois un cobaye et une sportive de rêve, très investie. Pendant 5 ans, parallèlement à mon vrai métier, je l’ai suivie dans l’ombre, avec quelques autres grimpeurs de niveau plus modeste. A la question « est-ce que j’avais une vie à côté », la réponse est non.

Voilà comment tout a commencé. Un peu de feeling, du hasard, de la chance.

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Mon métier

Ou plutôt mes métiers.

La préparation physique

Je travaille beaucoup à distance, car en quittant le monde du commerce, il fallait bien se rendre à l’évidence : je n’aurais jamais eu de clients localement. Le fait d’être dans l’ombre, avec mon réel niveau de grimpe, a aussi permis de faire travailler l’imaginaire des « gens ». Vous imaginez un entraîneur de soi-disant haut niveau vous encadrer sur une séance, et que vous voyez grimper le lendemain en vous disant « mais c’est une chèvre ! » ? A l’époque, j’avais du mal avec tout ça. A l’époque.

Pour travailler à distance, il a fallu adapter les planifications, supports mais aussi le contenu. Je dois faire des choix, je ne peux tout faire, j’ai des limites à distance, et je suis donc critiquable en bien des points. Je l’ai accepté, les purs prep physiques diront que je ne fais pas de la prep physique et les entraîneurs diront que je limite la grimpe à du physique. A moi de me situer dans tout ça.

Aujourd’hui, après 10 ans de préparation à distance, je suis rentable uniquement en préparation physique. Rentable ne signifie pas rouler sur l’or, et encore une fois j’ai choisi la grimpe. Je l’étais surtout. En 2015 /2016, j’ai suivi 45 grimpeurs par mois à distance au plus fort de la saison. Rentable, oui, mais nerveusement c’était compliqué. A distance, cela signifie de nombreux mails, des rendez-vous téléphoniques à caler et recaler en permanence.

Depuis cette année, j’ai divisé par 2 ce nombre de suivis. La préparation physique à distance est intéressante à bien des niveaux. Pour ne citer qu’un avantage à cela, je dirais que je peux faire des planifications sur les bords du lac Majeur, à Majorque, au Yellowstone, personne ne le saura. Je suis d’une certaine manière très libre.

Ce qui compte beaucoup pour moi, c’est la diversité des niveaux, des projets, des âges. Je tiens vraiment à conserver cette possibilité dans mon travail.

La préparation mentale

Je m’y investis pleinement, et je m’autorise à sortir de la « grimpe ». C’est un équilibre à trouver avec la préparation physique, et ça me permet de voir du monde aussi, et ne pas passer du temps derrière l’ordinateur. Et puis, je suis comme tout le monde, j’ai besoin de voir des visages, de communiquer sans faire appel à la technologie actuelle !

L’enseignement

Oui, la préparation physique pourrait me suffire financièrement. Mais elle ne suffit pas « mentalement ». La préparation mentale, justement, m’apporte beaucoup, mais l’équilibre n’est pas encore parfait ! Je donne entre 100 et 150 heures de cours par an, au CNPC ou à l’INSEEC (oui, dans le commerce !). Et là, c’est une vraie récréation ! Attention, non pas parce que je n’aime pas ce que je fais, mais parce que j’ai tendance à toujours vouloir réfléchir plus, mieux. Donner des cours me permet de m’aérer l’esprit, et aussi de communiquer avec un groupe, des enseignants, une structure.

L’équilibre professionnel

Ce sont les 3 activités principales qui me garantissent un épanouissement total. La rentabilité est une chose, profiter en est une autre. A cela, j’ajoute aussi du bénévolat auprès de sportifs de différents niveaux. Feeling, coups de cœur, cobayes…et haut niveau. Je reviendrai sur ce dernier point plus tard.

C’est à ce moment que je reprends le sujet « Prepagrimpe ». Je ne pourrai jamais publier quotidiennement, partager les différentes nouvelles du monde de la grimpe. Ce n’est pas mon métier, et d’autres le font bien mieux que moi. Prepagrimpe n’est finalement pas un site sur l’entraînement, mais un site sur mon activité professionnelle, à la frontière entre le blog, le site, le bénévolat et la vitrine. Oui, Planetgrimpe.com est partout sur tout, oui La Fabrique Verticale est le site de référence sur l’entraînement. Moi, je suis avant tout « coach », investi à tous les niveaux de pratique. Attention, je ne dis pas qu’Olivier et Laurence ne sont pas entraîneurs, je dis qu’ils n’accordent pas autant de temps que moi à cette activité professionnelle.

La concurrence

Objectif9a ? Team Kyou ? Fred, Adrien, Laurence et Oliviern entre autres ? Je vends des planifications entre 60 et 90€ par mois selon les formules, je vous laisse calculer le tout et tenir compte de tout ce que j’ai écrit précédemment. La concurrence ne se trouve pas sur Internet, mais dans les salles de grimpe, finalement des « coaches » qui encadrent de petits groupes dans une bonne ambiance. Comment leur reprocher, c’est l’essence même de l’activité ? Le marché francophone est immense, mais il faut tenir comptes des envies. On trouve de plus en plus d’entraîneurs exceptionnels qui entraînent dans les salles pour 2 ou 3 fois moins cher, avec des sourires en plus, et des rencontres. J’en arrive au point suivant.

Un métier d’avenir ?

Dans les questionnaires que je reçois à propos de mon activité, on me demande souvent comment arriver à ce métier, et si c’est un métier d’avenir. J’y ai déjà partiellement répondu ! Bien sûr que non, le suivi à distance n’a pas beaucoup d’avenir. Il a servi de cachet effervescent dans un verre d’eau, à un moment donné. Et puis, bien sûr, il m’a fallu beaucoup de chance pour parvenir à être rentable (et du travail !). Se faire un nom, avoir de la réussite, faire de belles rencontres, ça ne s’apprend pas à la faculté. Jamais je n’avais envisagé d’en vivre un jour, et je n’envisage pas d’en vivre pour toujours. Le seul conseil que je donnerai, c’est justement de…donner. De s’investir bénévolement. Le marché de l’entraînement n’attend personne. Et puis enfin, même à distance, on doit faire ressortir une partie de sa personnalité. Les connaissances, les compétences ne sont qu’une goutte d’eau !

Le bénévolat avec le site

J’estime la part de bénévolat dans mon métier à environ 40%. Enorme ? Mettre en ligne un site, c’est aussi accepter de répondre aux différents mails reçus par les lecteurs, sans juste faire de la figuration et utiliser de bonnes formules. Je veux que chacun reparte avec un petit quelque chose, une piste, un avis. J’y mets de la passion, du cœur.

Le bénévolat à haut niveau

Et puis bien sûr, je ne peux finir cet article sans évoquer le cas du haut niveau. Une vraie problématique. De toute évidence, c’est à la fois instructif et passionnant de se lancer dans le suivi de « l’élite ». Seulement voilà, c’est n’est pas là que se trouve l’argent (à part chez certains jeunes, car ce sont les parents qui paient). Donc soit on décide de faire payer plus que les autres et on n’a plus aucun sportif, soit on décide de faire moins / pas payer, et on se retrouve avec des sportifs qui vous prennent du temps, beaucoup de temps, sans vous apporter financièrement. Quant à la publicité, à quoi sert-elle finalement, si ce n’est à vous apporter d’autres grimpeurs de haut niveau sans argent ? Le haut niveau est un engrenage, si vous faites payer en prep physique, vous allez avoir envie d’apporter un peu plus, du mental, une présence, dans d’autres thématiques sur l’entraînement. Les limites du cadre sont floues, comme de solides élastiques qu’on peut pousser. Tant qu’on a la force de pousser, on y va. Mais si on va trop loin, le retour à la case départ est rapide !

Certains sportifs (pas uniquement en escalade) me demandent de les suivre en échange de visibilité. C’est très bien, au début. Quand on commence. Aujourd’hui, ça ne m’apporte plus vraiment.

L’avenir de Prepagrimpe et de mon activité ?

Je questionnais récemment une sportive sur un éventuel arrêt de carrière. « Si tu arrêtes le haut niveau, ton continues à pratiquer ton sport ? ». Réponse : « non ». Prepagrimpe est lié à mon activité, je ne le modifierai pas pour y intégrer des news, pour écrire des articles différents, pour atteindre d’autres cibles, pour le monétiser. Le jour où j’arrête mon activité, Prepagrimpe s’arrête aussi.

A l’heure où je vois les planifications en ligne (et dans les salles) se multiplier, je dois répondre à une seule question : dans quelle direction aller ?

Plusieurs fois, j’ai reçu des planifications de grimpeurs me demandant des conseils sur ce que leur faisaient faire leurs entraîneurs. Je suis toujours un peu surpris quand je vois que les trames utilisées sont les miennes, même si elles datent de plusieurs années souvent. Donc la planification en ligne, y compris physique, se développe, et les tarifs sont similaires d’un entraîneur à un autre. Le créneau à distance se bouche, et à part en appuyant sur le bouton « communication », ça ne mènera à rien.

La vraie question, la direction à prendre, c’est celle de la compétition. C’est de cette manière que j’ai commencé, et c’est de cette manière que je finirai.

Le cas du haut niveau

Voilà où je vais, vers une direction de compétition. J’aimerais poursuivre mon apprentissage à haut niveau, apporter ce que je peux apporter, à ceux qui me le demandent. J’ai du mal à refuser les nouvelles sollicitations, en préparation mentale ou physique, voire même dans un cadre plus global d’entraînement, parce que c’est tout simplement passionnant. Mais pour cela, il va falloir arriver à la création d’une team, et donc avoir une capacité d’autofinancement. Si le côté financier ne sera jamais apporté par les grimpeurs eux-mêmes, le système ne supporterait pas non plus le bénévolat de mon côté, car ce serait trop chronophage à ce niveau. C’est là que je vais, suivre une poignée de très forts grimpeurs, et quelques falaisistes et bloqueurs de différents horizons. J’y vais en même temps que je vois marquer en gros et en clignotant « zone de feeling, à vos risques et périls ». Encore une fois.

Alors, rapidement, si j’en viens à suivre plus ou moins bénévolement certains des meilleurs grimpeurs du monde, il me faudra des soutiens, des partenaires financiers. Voilà où je vais. Où Prepagrimpe s’arrêtera si je n’y parviens pas, si la team n’y parvient pas. On verra bien !

En résumé

J’ai un ensemble de métiers merveilleux, je suis libre, indépendant, je fais des rencontres exceptionnelles ! Mais le monde de l’entraînement évolue, le marché aussi. A tous ceux qui pensent un jour avoir la volonté de se lancer pleinement dans ce type d’activité, je leur souhaite avant tout beaucoup de passion, de courage aussi, et de la réussite. J’ai en ce moment l’impression d’être un artiste qui commence à ne plus vendre de disque et qui se demande de quelle manière il doit s’exposer. Retour à la scène. Retour au réel, voilà où je vais. Un investissement plus local. Une vraie équipe. Des partenaires qui se reconnaîtront dans nos valeurs, nos performances. Et oui, alors que je fuis toute communication sur les performances de mes sportifs, j’y viendrai forcément (avec leur accord). Pas pour Prepagrimpe, pour la Team Prepagrimpe. Parce qu’aujourd’hui, je me sens obligé de foncer vers le haut niveau, d’une manière ou d’une autre.

J’adore mon métier, ce qu’il est en ce moment. Prepagrimpe ou autre chose, l’avenir dira où je vais. Ce ne sont pas les projets qui manquent, et j’encourage vraiment tous les étudiants qui ont les yeux qui brillent lorsqu’ils me parlent de mon métier. Vous avez raison d’y croire. On ne fait jamais les choses pour rien de toute façon, et les études n’ouvrent pas tant de portes que cela.

Prepagrimpe évoluera. J’espère pouvoir vous parler rapidement d’une vraie équipe officielle, soutenue, suivie. Je ne suis pas attaché à la FFME, je ne veux contraindre personne à travailler avec moi. La liberté ? Oui, à mes risques et périls ! Au feeling, ou presque.

Bonne fin d’année à tous,

Thomas

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